Dans le dramatique épisode que nous vivons avec la déclaration de guerre de Vladimir Poutine contre l’Ukraine, une bonne nouvelle. Le dictateur russe a réussi à montrer que face à de gros enjeux, une « union sacrée » des nations européennes, voire occidentales, était possible. Et si, à la conclusion de ce conflit que l’on espère rapide, cette nouvelle Europe se mettait d’accord avec la même rapidité et avec les mêmes moyens pour lutter contre le réchauffement climatique et répondre ainsi au dernier signal d’alarme du Giec? Elle en est capable (« quoiqu’il en coûte »), preuve est faite. E.C
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